Comment se déroule l’hibernation des ours ?

L’hibernation, ou plus précisément l’hivernation des ours est un processus physiologique leur permettant de faire face au manque de nourriture de la période hivernale. Si la fourrure est en mesure de protéger l’animal des températures glaciales, les denrées alimentaires s’amenuisent considérablement.

À la différence de l’hibernation, l’hivernation compte des périodes d’éveil, ce qui fait que l’ours reste alerte pour affronter d’éventuels dangers. Il peut même effectuer quelques déplacements, notamment pour se réchauffer au soleil lorsqu’il fait suffisamment beau. De son côté, la femelle peut mettre bas et ainsi s’occuper de ses petits, en les nourrissant et en les lavant.

Selon le blog sur les animaux dimanche-sans-chasse.fr, l’hivernation a pour objectif de réduire la consommation énergétique de l’animal en limitant les différents processus physiologiques. Durant cette période, le rythme respiratoire diminue de moitié, tandis que le rythme cardiaque passe de 50 à 10, voire 8 pulsations par minute.

Par ailleurs, l’ours ne boit et ne mange pas, tout comme il n’urine pas. En effet, les urines sont directement recyclées par l’organisme pour maintenir son niveau d’hydratation. Pour subvenir à ses besoins, il accumule préalablement des réserves de graisse pendant l’automne en consommant des fruits et des graines. Si l’animal conserve sa masse musculaire, il perd près d’un tiers de son poids durant la période d’hivernation.

Combien de temps dure l’hivernation des ours ?

L’hivernation des ours varie en fonction de l’animal (âge, sexe, réserve de graisse, etc.) et des conditions climatiques. Les mâles adultes sont les premiers à sortir, tandis que les femelles avec des nouveau-nés prennent plus de temps. L’hivernation débute souvent avec l’hiver, et s’achève lorsqu’il fait suffisamment doux pour trouver de la nourriture. L’ours peut ainsi hiverner entre 3 et 6 mois par an, entre octobre et décembre, pour sortir de son terrier entre février et mars. Autrement dit, l’hivernation tourne autour de 152 à 213 jours chez l’ours.

À noter qu’une période de pré-hivernation précède l’hivernation proprement dite. Elle s’étend sur 3 et 17 jours, pendant lesquels l’ours se prépare en cherchant ou construisant sa tanière. Selon la zone géographique, il peut se loger dans les cavités rocheuses naturelles qu’il recouvre de feuilles, d’herbes et d’autres végétaux pour garantir son confort. Dans certains cas, l’ours peut également creuser lui-même sa tanière.

Comme l’hivernation dépend de l’animal en question, quelques ours peuvent s’en passer et ne rester que très peu de temps dans leur terrier. C’est notamment le cas des ours qui ont pris l’habitude de chasser, et qui consomment les animaux qu’ils trouvent durant l’hiver. D’autres, qui vivent à proximité des humains, peuvent aussi se nourrir de restes de nourritures et de déchets.

Sinon, il est courant que certains consomment des racines lorsqu’il fait suffisamment doux pour creuser dans le sol. Par ailleurs, le cas des ours polaires est singulier, sachant que les loutres et phoques abondent en hiver. Ils profitent donc de cette saison pour ingurgiter le maximum de nourriture.

Pourvoir à ses besoins alimentaires

Un poste de dépense incontournable, l’alimentation est un critère à considérer avant d’adopter un animal de compagnie. Quelle que soit l’espèce à laquelle appartient son animal, il est essentiel de le nourrir correctement. Précisément, ces besoins nutritionnels dépendent de l’espèce, de la race, de l’âge et de l’état de santé. Ainsi, la prudence est de rigueur en demandant conseil à des médecins vétérinaires ou à des conseillers vétérinaires pour bien nourrir son animal de compagnie.

Assurer sa santé

Ce volet est extrêmement important. Le suivi vétérinaire et les soins réguliers sont devenus obligatoires pour prévenir les maladies et infections, ou du moins les traiter à temps. Certains soins peuvent cependant être prodigués par le propriétaire. D’autres, en revanche, doivent être entrepris par des spécialistes, requérant des connaissances particulières et des moyens plus poussés.

L’entretien et l’hygiène

A l’instar du suivi de la santé, l’entretien doit être effectué régulièrement. Pour chaque espèce, des moyens adéquats sont prodigués aux propriétaires. Pour conserver une bonne santé de son animal, rien ne vaut l’attention, les câlins et les caresses. A tout moment, l’animal a besoin de recevoir toute la tendresse de la part de son maître.
Aussi, pour les animaux poilus, il est nécessaire d’investir dans l’achat de shampooings. Si l’animal a les poils longs, le brosser aide à éviter les nœuds ou les saletés infiltrés dans son pelage. De plus, un suivi particulier doit être effectué afin de le débarrasser des puces.

Assurer son éducation

Les animaux de compagnie doivent être éduqués. Suivant son espèce, le type d’éducation évolue avec son âge. Il s’agit généralement de l’inculquer aux réactions et comportements adaptés face à une situation donnée. Chose pas facile, le propriétaire ne disposant pas de formations ne pourrait s’y emmêler. Mais avec l’aide de vétérinaires ou des spécialistes, l’animal trouvera son équilibre auprès des êtres humains.

Conseil pour les voyageurs

Si vous partiez en voyage ou si vous avez prévu une longue période d’absence, pensez à la garde de votre animal de compagnie. Vous pouvez opter pour l’échange de garde d’animaux entre particuliers, qui est une pratique à l’assaut sur les plateformes en ligne. Il est aussi possible d’opter pour le « pet-sitter » pour consiste à faire garder son animal pendant un temps bien déterminé. Le recours aux services d’un« pet-sitter » professionnel est recommandé pour assurer la sécurité et la santé de votre animal.

Tous les goûts sont dans la nature

Pour ces personnes, les animaux de compagnie qu’ils choisissent correspondent mieux à ce qu’elles recherchent chez une bête, peut-être leur côté affectueux ou silencieux ou plutôt leur côté bruyant, bref, à chacun sa bête, celle qui peut lui satisfaire et qui peut être une véritable compagne pour soi. Les serpents, les caméléons, les fennecs, les singes et autres bêtes assez hors du commun font désormais partie du cadre familial de beaucoup de nos contemporains. Ils sont entrés dans les foyers et dans les coeurs de bon nombre de Français qui en sont particulièrement heureux aujourd’hui. Mais il existe d’autres animaux encore plus insolites qui font une entrée très remarquée dans un bon nombre de demeures. Lesquels ?

Le hérisson et le capybara

Eh oui, le hérisson fait partie de la famille de plus en plus de Français de nos jours. En particulier le hérisson africain à ventre blanc. Il possède des piquants qui piquent, qui font mal, on ne peut donc pas le caresser comme on le ferait habituellement avec les autres animaux de compagnie mais ils ont leur place maintenant dans quelques foyers. Précision tout de même : leurs piquants sont plus lisses, et c’est un mammifère insectivore tout ce qu’il y a de mignon. Pour d’autres, c’est le capybara, un peu comme un hamster géant. Il s’agit du plus grand rongeur d’Amérique du Sud. Atouts de l’animal : social, il s’intègre facilement, apprécie les humains et cohabite assez aisément avec d’autres animaux. Mais ne pas oublier que c’est un animal semi-aquatique qu’il faut donc faire faire des baignades de façon régulière pour qu’il s’épanouisse convenablement.

Les entérites transmises par les reptiles

La transmission de la maladie vers les enfants se fait par contact direct en embrassant l’animal, en nettoyant l’animal ou en portant involontairement les mains ou les ustensiles contaminés vers la bouche. Les symptômes de la maladie se présentent sous forme de vomissements ou de diarrhée importante suivie de fièvre 48 heures après contamination. Cette maladie peut ne pas sembler grave, toutefois, elle peut provoquer la mort chez les nourrissons. Pour l’éviter, il faut surtout éviter de laisser trainer les reptiles dans la cuisine et toujours utiliser des gants pendant leur nettoyage.

L’ornithose et la psittacose transmise par les oiseaux

Il nous arrive de penser que la zoonose est souvent provoquée par les mammifères et les reptiles, pourtant, il faut savoir que les oiseaux peuvent également la transmettre. La Chlamydophila est une maladie transmise des oiseaux d’agréments comme les perroquets et les canaris. La voie de transmission reste encore inconnue des chercheurs, néanmoins, la maladie provoque des symptômes dangereuses tant pour l’homme que l’animal lui-même. Si vous vous apercevez que votre perroquet est victime d’une mort rapide, d’une trouble respiratoire, d’un amaigrissement ou d’une diarrhée, il faut tout de suite l’emmener au vétérinaire et quant à vous, consulter immédiatement un médecin.

La salmonellose

La salmonellose, une maladie connue pour provoquer des diarrhées. Elle est généralement transmise par voie orale par des nourritures contaminées. Toutefois, il faut savoir que les animaux peuvent également la transmettre aux hommes. La maladie se traduit par une déshydratation, une diarrhée, de la fièvre et des crampes abdominales durant une semaine. En cas de signe d’un de ces symptômes observés sur votre animal, il faut tout de suite l’emmener chez le vétérinaire pour éviter qu’il ne vous le transmette.

Qu’est-ce que le VHD2 ?

Le terme VHD indique une maladie virale hémorragique chez le lapin. Ce mot désigne également le virus responsable de cette pathologie dont l’issue est toujours fatale. Très contagieuse, cette maladie a toujours existé. Seulement, l’agent pathogène est devenu résistant aux traitements habituels depuis une mutation qui aurait eu lieu en 2010. En trois jours, le lapin présente des spasmes et des éternuements qui se soldent par des saignements, puis des hémorragies.

La vaccination reste la seule solution

A ce jour, aucune solution efficace pour soigner la forme virulente de VHD n’a été trouvée. Cependant, un bon vaccin contre le virus mutant existe déjà. Plusieurs produits ont même été mis au point par les laboratoires. Ils s’appellent Cunical, Fivalac, Dercunimix ou Nobivac. Tous s’inoculent chez les lapereaux et doivent être périodiquement rappelés. La vaccination doit ainsi être reprise tous les 3 à 12 mois selon la marque. L’administration de ce médicament est strictement réservée aux vétérinaires.

Des précautions à prendre pour les éleveurs

Le virus VHD2 peut rester dans l’environnement du lapin malade pendant une assez longue période. Ainsi, il convient de procéder à un nettoyage de fond en comble suivi d’une désinfection. Les animaux qui présentent des symptômes tels que l’éternuement ou le saignement du nez sont rapidement à mettre en quarantaine et doivent faire l’objet de consultation. Notons que l’homme peut être porteur du virus VHD sans pour autant souffrir de la maladie. L’accès dans l’enclos des lapins doit être restrictif pour éviter toute contamination.

Le bruit

Les oies peuvent faire beaucoup de bruit, surtout pendant la saison de reproduction. L’oie de Chine est de loin la plus bruyante, mais n’importe quel espèce d’oie peut déranger les voisins, alors vous devrez peut-être en tenir compte pour décider si garder des oies est pour vous. De plus, elles oies peuvent vivre jusqu’à 20 ans, donc c’est un engagement à long terme.

Les enfants

Les enfants ne devraient jamais être laissés sans surveillance avec des oies et, en général, jusqu’à l’âge de 7 ans. Ils font trop de mouvements rapides et font trop de bruit, ce qui dérange les oies. Ces dernières ont tendance à les courir après avec les ailes déployées. Assez pour effrayer un enfant à vie.

La nutrition

Les graminées et le trèfle constituent la majorité du régime alimentaire d’une oie. Cependant, toutes les herbes ne sont pas égales et les niveaux de protéines varient entre les différentes sortes d’herbe. L’herbe douce, courte et fraîche est leur préférée et a le contenu le plus nutritionnel. Assurez-vous de pouvoir disposer suffisamment d’herbe pour le nombre d’oies que vous prévoyez conserver. Vous devez également prévoir qu’elles auront accès à cette herbe tout au long de la journée afin de subvenir à leur besoin nutritionnel. Les oies domestiques n’ont pas besoin d’un étang. Une baignoire en plastique ou un bac à sable leur suffit. Enfin, les oies ont besoin d’un enclos sécurisé contre les prédateurs.