Alimenter son chat

L’alimentation d’un chat varie selon qu’il s’agit d’une chatte gestante ou allaitante, d’un chat adulte ou d’un chaton. Vous devez être très strict sur les portions. Si vous lui donnez des croquettes à disposition, assurez-vous de ne pas en faire trop à chaque fois. Par exemple, vous pouvez choisir un distributeur de croquettes, mise en vente sur le magasin en ligne pour contrôler sa consommation. D’autres produits comme les gamelles et sets de table pour votre boule de poils sont aussi mis en vente pour rendre ses mets les plus agréables possible.

Quand les chats doivent-ils manger ?

Il n’y a pas de moment spécial pour nourrir votre chat. Les chats sont naturellement friands de grignotage : vous pouvez lui donner à manger en libre-service, et il le mangera jour et nuit, mais à condition de bien contrôler la quantité (pour éviter l’obésité). Par contre, laissez-lui au minimum 4 repas par jour pendant les 4 premiers mois de sa vie, trois repas par jour au maximum pendant six mois, puis deux repas par jour. Une chatte gestante a besoin au minimum de trois repas par jour et de quatre repas pendant la lactation.

Quelles rations pour lui ?

Les quantités à donner à votre chat dépendent de son activité physique, de son âge, des dépenses spécifiques (croissance, gestation, lactation…). Un chat adulte mange en moyenne de 50 à 75 grammes de croquettes au quotidien et 200 à 300 grammes de pâtée. Après, tout reposera du rythme de vie de votre animal de compagnie : un chat d’extérieur à plus de besoins énergétiques qu’un chat d’intérieur. Pour connaître si les rations que vous lui laissez sont exactes, à l’âge de douze mois pesez-le, âge auquel il aura obtenu son poids normal. Puis, pesez-le fréquemment : il ne doit ni maigrir ni grossir.

Vérifiez le nombre de chiots de la portée

Quand vous allez acheter un chiot, vous devez connaître le prix des chiens par race. Un chiot Golden Retriever coûte souvent moins cher qu’un chiot chihuahua. Pourquoi cette différence de prix entre les races de chiots ? Plusieurs facteurs peuvent impacter le prix, dont le nombre de chiots par portée.
En général, les chiens de taille moyenne ou de grande taille ont souvent beaucoup de chiots par portée comparée aux petits chiens. Il y a des chiens qui peuvent avoir 8 chiots à chaque mise bas comme c’est le cas du Golden Retriever. Il y en a par contre qui n’ont que 1 à 6 chiots par portée. C’est le cas du chihuahua.
Avant d’acheter un chiot donc, prenez connaissance du nombre de chiots de la race du chien que vous voulez acheter. Plus il y a de chiots, plus les frais d’élevage seront faciles à amortir, ce qui permet de réduire le prix de vente.

Étudiez les coûts d’entretien et d’élevage de la race concerné

Si on se base sur la logique ci-dessus, les chiots issus d’un grand chien sont plus abordables, mais ce n’est pas toujours le cas. Pour éviter de vous faire arnaquer sur le prix d’un chiot, étudiez les coûts d’entretien de la race qui vous intéresse.
Prenons par exemple le chiot rottweiler. Il mangera plus qu’un chiot chihuahua et vous fera donc dépenser plus en nourriture. Il aura aussi besoin d’un grand espace de vie. Il peut coûter plus cher qu’un chiot chihuahua. Un petit chiot ne sera pas pour autant abordable, car il n’est pas forcément facile à élever et à entretenir.
Un petit spitz par exemple coûte beaucoup en entretien à cause de ses poils. Il coûtera plus cher qu’un rottweiler dans certains élevages. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’un chiot qui a coûté cher en termes d’élevage et d’entretien coûtera aussi cher lors de la vente d’où l’importance de s’informer avant d’acheter votre chiot.

Prenez en compte l’âge, le sexe et les performances que le chiot peut développer

L’âge du chiot impacte grandement sur son prix. Pour éviter de vous faire arnaquer lors de l’achat, étudiez ce point. Un chiot rottweiler de 4 mois coûtera par exemple moins cher comparé à un chiot de la même race, mais qui a 8 semaines.
Cette différence de prix s’explique par l’importance de l’âge dans la phase d’imprégnation et de socialisation. Cette phase doit se dérouler avant que le chiot ait 12 semaines. Le sexe impacte aussi le prix du chiot. Les femelles sont plus chères que les chiots mâles, car elles peuvent se reproduire.
Prenez également en compte les compétences et/ou les performances que le chiot peut développer. Est-ce que le chiot qui vous intéresse peut devenir un chien de garde, un chien de course, un chien d’accompagnement pour aveugle… ? Cela peut impacter le prix d’achat. Si le chiot qui vous a séduit ne peut pas développer de compétences spécifiques, vous pouvez négocier lors de l’achat.

Analysez l’offre et de la demande

La vente d’un chiot n’échappe pas au principe de l’offre et de la demande. Si la demande est forte comparée à l’offre, le prix du chiot augmentera considérablement. La popularité de la race fait partie des facteurs qui peuvent impacter le marché.
La rareté d’une race peut aussi influencer le prix du chiot. Il y a par exemple des races que vous ne trouverez que dans un seul élevage en France. Si vous voulez obtenir un chiot de cette race, il faut payer le prix fort.
D’autres critères impactent aussi le prix comme vous pourrez le constater en consultant le Web. Dans tous les cas, pour éviter de vous faire arnaquer lors de l’achat, pour acheter au juste prix ou encore pour réussir une négociation, informez-vous au maximum sur le chiot que vous voulez acheter.

Miser sur la fiabilité et les rapports de confiance

La confiance mutuelle entre médecin traitant et patient est importante. Elle s’appuie généralement sur de nombreux critères, principalement les compétences, le feeling et l’échange. Pour savoir donc au premier abord si le vétérinaire est une personne de confiance, il faut d’abord se fier à ses compétences qui sont prouvés généralement par ses études et son diagnostic rapide. Le feeling est aussi un critère de choix à ne pas minimiser. Dans ce cas, il faut se fier au premier climat de rencontre, qui s’évalue avec l’échange et la manière du vétérinaire de communiquer avec l’animal. Pour trouver rapidement un bon vétérinaire, on peut aussi miser sur les techniques de bouche à oreille.

Considérer la proximité

Le critère de distance est aussi à prendre en compte pour prévoir les situations d’urgence et pour faire plus d’économie sur le trajet. Dans ce cas, il suffit de localiser les praticiens proches de sa résidence. Ce critère est surtout important si l’animal souffre de maladies chroniques et présente un besoin de consultation régulière chez le vétérinaire. D’autres critères comme la disponibilité et les horaires ne devraient pas aussi être négligés. Des cabinets ne sont pas en effet accessibles que sur prise de rendez-vous de plusieurs semaines et ne peuvent même pas être sollicités tous les jours.

Considérer les structures

Les structures peuvent aussi révéler les capacités de traitement d’un bon praticien. En principe, il existe trois types de structures dont principalement le cabinet, la clinique et le centre hospitalier. Les tarifs varient aussi généralement en fonction des structures. L’idéal c’est généralement la clinique vétérinaire et les centres hospitaliers, ils disposent en effet des moyens matériels et des moyens humains plus nombreux et conformes aux normes. Les risques sont donc moindres. Mais, en contrepartie, ils ont par contre un tarif plus onéreux par rapport au cabinet.

Clôture anti-fugue : mode de fonctionnement

La clôture anti-fugue peut être une clôture électronique ou une clôture électrique pour chien. La version électronique est sans danger pour les enfants. Pour créer une clôture anti-fugue, il faut entre autres un fil d’antenne et un collier-récepteur.
Le fil d’antenne est utilisé pour définir le périmètre à clôturer. Il peut être déployé ou enterré le long des limites du périmètre. Si vous choisissez un modèle enterré, il doit être enfoui à quelques centimètres de profondeur du sol. Si vous choisissez un modèle déployé, ne le fixez pas sur un grillage et éloignez-le de tout élément métallique pour éviter les perturbations de signal. Le fil d’antenne est raccordé à un émetteur. Celui-ci envoie un signal radio codé à basse fréquence au fil d’antenne. Le collier-récepteur est porté par votre chien ou votre chat. Lorsqu’il s’approche du fil d’antenne, il est prévenu par un signal sonore ou vibratoire émis par le collier. Ce signal lui interdit d’aller au-delà des limites. S’il les franchit quand même, il reçoit une punition sous forme de décharges électrostatiques dissuasives. L’utilisation d’une clôture anti-fugue nécessite une éducation sur mesure pour conditionner votre votre chien au système. Il faut noter que le système reste efficace pour un nombre illimité d’animaux à condition qu’ils portent tous un collier-récepteur.

Sur quels critères choisir votre clôture anti-fugue ?

Il existe de nombreux modèles de clôture anti-fugue. Lequel choisir pour vos chiens ? Tout dépend du terrain que vous voulez clôturer. Choisissez la longueur de câble nécessaire pour couvrir votre périmètre. Ensuite, il faut tenir compte de la taille de votre chien. Tous les modèles conviennent aux chiens moyens. Si vous avez par contre un chien de petite taille, il faut choisir une clôture avec un choc tempéré. Et si vous avez un chien têtu et/ou de grande taille, il faut opter pour une clôture avec un choc ajustable. Au début, vous pouvez mettre la clôture à forte intensité. Au fur et à mesure que votre chien ou votre chat devient plus obéissant, vous pouvez diminuer l’intensité du choc. Si votre chien aime nager, comme le cas d’une golden retriever et d’un labrador, il faut choisir un collier-récepteur imperméable et submersible.

Faut-il choisir un système avec ou sans fil ?

Le système sans fil est plus pratique, car facile à installer. Vous n’avez pas de fil à enterrer le long de la surface du périmètre. Mais, il présente des inconvénients. Par exemple, ce type de produit est vendu exclusivement avec un signal circulaire. Il ne peut pas s’adapter à une surface carrée ou rectangulaire. Le rayon d’action est ajustable en fonction de vos besoins. Mais, il faut veiller à installer le produit au centre du terrain pour couvrir le plus de surface. Notez que ce type de système ne peut couvrir qu’une petite superficie. Le système avec fil est alors plus efficace et est d’ailleurs moins coûteux. Le seul inconvénient réside dans la complexité de l’installation. Enfin, il faut prêter une attention particulière sur la qualité du fil.

Choisir les poissons pour un petit aquarium

Si vous avez un aquarium de taille modeste, pensez à adopter un Betta Splendens. Cet animal se distingue par ses nageoires très larges et sa double queue. Paradoxalement, cette espèce venue d’Asie se plait dans une petite quantité d’eau (10 litres). Elle aime vivre seule et porte même le surnom de Combattant pour sa tendance à se quereller facilement. Pour sa part, l’Aphyiosemion australe arbore une couleur rouge chatoyante. Également appelé kili, ce poisson peut vivre en duo.

Des espèces qui se reproduisent vite

Si vous aimeriez commencer avec un couple pour finir avec toute une colonie de poissons, le guppy pourrait vous convenir. Cette espèce sud-américaine a une robe tachetée rappelant le guépard. Les petits naissent sous la forme d’adulte en miniature. Pour les autres poissons, il faut passer par le stade de l’œuf. Si vous avez un aquarium de 80 litres ou plus, le platty ou le cardinalis serait d’excellent choix. Ce sont des poissons hauts en couleur venant d’Amérique latine. Ils vivent en banc et se reproduisent vite.

D’autres types de poisson à connaitre

Si votre aquarium est immense, pensez à avoir quelques poissons de fond. Le corydoras devrait vous séduire. Cet animal passera son temps à trouver sa nourriture sur le sol de l’installation. Encore plus nettoyeur, il y a l’ancistrus. Cette espèce végétarienne devrait être élevée en groupe dans une cuve d’au moins 120 litres. Ces poissons font corps avec le fond de l’aquarium. Tapis sur le sable, ils deviennent parfois difficiles à observer.

Bien lire l’étiquette

Pour choisir les croquettes qui correspondent réellement aux nécessités nutritionnelles de votre chien, vous devez bien lire l’étiquette du produit et bien examiner les ingrédients qui le composent. Souvent, les indications sur les étiquettes des sacs de croquettes pour chien sont difficiles à comprendre, néanmoins, il existe des méthodes simples pour les comprendre. La position des composants dans la liste située sur l’étiquette vous permettra notamment d’identifier l’ingrédient principal. En effet, celui qui se trouve en première position est l’ingrédient de base de la croquette. Les aliments céréaliers tels que le riz, le blé ou le maïs sont aussi répartis dans la liste afin de duper les consommateurs. Lorsque vous examinez l’étiquette, n’oubliez pas d’étudier le taux de chaque ingrédient dans la croquette. Puisque les chiens sont principalement des carnivores, le taux de protéines dans la croquette doit être élevé.

Faire attention aux vitamines

Lorsque vous achetez des croquettes pour chien, vous devez aussi faire très attention aux taux de vitamines qui s’y trouvent. Les vitamines sont essentielles pour le bon fonctionnement et le développement de l’organisme du chien. En effet, chaque vitamine a un rôle particulier. La vitamine D3 par exemple permet de fixer le calcium dans les os de l’animal. Or, le calcium est très important pour un chien, car cet élément l’aide à avoir un bon squelette et à bien développer ses muscles. Toutefois, si votre chien est déjà âgé, il n’a plus besoin de consommer des aliments contenant beaucoup de calcium. Le phosphore est aussi un minéral essentiel pour le chien. Il est indissociable au calcium. Le calcium dans une croquette pour chien doit toujours avoir un taux 1,5 fois plus élevé que celui du phosphore. Donc, vous devez bien examiner ce rapport phosphocalcique lorsque vous achetez des croquettes pour chien. Bref, plus la croquette renferme de vitamines, plus elle est intéressante. Souvent, c’est la diversité des vitamines dans l’aliment, la quantité de ce dernier et sa qualité qui font la différence de prix entre deux croquettes de marques différentes.

La différence entre les croquettes de qualité standard et ceux de qualité premium

Habituellement, on trouve deux sortes de croquettes pour chien sur le marché. Il y a les aliments de qualité standard qui sont souvent vendus en grandes surfaces et ceux de qualité premium qui sont vendus dans les boutiques spécialisées ou les cliniques vétérinaires. La différence entre ces deux types de croquettes pour chien est que les modèles standards sont souvent très abordables, mais la qualité des composants qu’ils renferment n’est pas garantie. Par contre, les modèles premiums, souvent plus chers, sont toujours composés d’ingrédients de très bonne qualité, avec un taux élevé de protéines animales. Pour faire le bon choix, il est conseillé d’opter pour les croquettes pour chien de qualité premium avec des composants d’excellente qualité, notamment de viandes déshydratées ou de viandes fraîches. Lorsque vous lisez l’étiquette, l’idéal est d’opter pour une croquette pour chien composé de faible pourcentage de céréale, mais de pourcentage de protéines animales élevé, de 28 à 40 %. Elle doit aussi être riche en nutriments, essentiellement en calcium, en vitamines, en phosphore, etc. Quel que soit le type de croquette choisi, respectez la quantité de croquettes à donner à votre chien.

Visites annuelles au vétérinaire

Pour s’assurer que tout est OK avec la santé de votre doux hamster, il est important de l’emmener chez le vétérinaire pour des rendez-vous de contrôle une fois par an. Assurez-vous que votre animal de compagnie voit un vétérinaire au moins une fois par an, peu importe sa santé, sa rusticité et son contenu. Puisque les hamsters ne peuvent pas vous parler pour vous dire si quelque chose ne va pas, c’est extrêmement important, alors ne le négligez pas. Si vous soupçonnez que quelque chose ne va pas avec votre animal de compagnie, il faut emmener votre animal chez le vétérinaire pour être en sécurité.

En cas de symptômes de problèmes de santé

Si la santé de votre hamster semble normale, les visites chez le vétérinaire une fois par an devraient être bien. Cependant, il est crucial d’emmener votre animal chez le vétérinaire immédiatement si vous remarquez quelque chose hors de l’ordinaire. « Une fois par an » s’applique aux circonstances idéales. Faites attention à tout signe indiquant que votre rongeur souffre de diarrhée, de perte de poids, de dents anormalement longues, de nez qui coule, de poils emmêlés, de frissons, d’yeux vitreux, de respiration sifflante, d’ulcère de sang, de perte de fourrure ou de perte d’appétit. Si vous remarquez l’une de ces choses, obtenez de l’aide vétérinaire le plus tôt possible. Les hamsters ont généralement une courte durée de vie, donc plus tôt vous allez chez un vétérinaire, mieux c’est. Si possible, cherchez un vétérinaire qui a une expertise dans les animaux « exotiques ».

Une alimentation équilibrée pour votre cochon nain

Les porcs aiment naturellement se goinfrer de tout. Cependant, il faut garder une habitude alimentaire saine pour votre cochon nain. En mangeant n’importe quoi en quantité, il peut grossir et devenir disgracieux. Pour éviter le désamour, pensez à adopter un régime composé essentiellement de légumes et de fruits. Les variétés sucrées trop riches en calories sont à lui donner modérément. Les repas doivent correspondre à 1,5 ou 2% du poids total de l’animal. Il faudra disposer d’une balance pour peser votre cochon assez régulièrement.

Le porc vietnamien doit aussi pâturer

Fidèle à ses habitudes de porc, le cochon nain aime pâturer. Cela signifie qu’il mangera tout ce qu’il trouve dans votre jardin. A défaut d’avoir une pelouse avec des herbes hautes, vous pourrez donner de la nourriture pour cheval à votre animal. Préparée à base de fibres, l’alimentation chevaline est pauvre en calories. Il faudra tout de même se limiter à la bonne quantité pour votre cochon. 3 repas par jour à des heures fixes suffisent.

Quelques récompenses si l’animal est bien sage

En tant qu’animal de compagnie, le cochon vietnamien peut apprendre certaines tâches. Il est doté d’une bonne mémoire et présente une bonne vivacité d’esprit. Vous pourrez l’entraîner à faire des gestes simples. Si le porcelet a correctement réalisé l’ordre que vous lui aviez donné, vous pouvez le récompenser avec une friandise. Cela dit, des dés de légumes ou des grains de maïs seront plus appropriés. Le cochon a tendance à prendre rapidement du poids avec les aliments riches en calories.