Prendre une assurance pour chien est-il obligatoire ?

Assurer votre chien n’est obligatoire que si ce dernier est d’une race susceptible d’être dangereuse. Toutefois, dans un cas général, l’assurance pour chien reste optionnelle.
Sans assurance, vous êtes donc entièrement responsable de votre chien. Vous devrez compenser vous-même les dommages causés par ce dernier.

Les types d’assurance canine

L’assurance santé

Ce type d’assurance est idéal pour protéger votre chien. Quand un chien est gravement blessé ou attrape une maladie grave, les frais médicaux peuvent en effet atteindre des sommes colossales. Face à cela, plusieurs maîtres sont alors obligés de se séparer de leur compagnon. Avoir une assurance santé pour chien est donc très utile dans ce genre de cas.
En option, il existe aussi l’assurance obsèques pour chien.

La garantie de responsabilité civile

Il s’agit de l’assurance de base pour un chien. Si votre chien cause des dommages à une tierce personne, cette assurance permet alors de couvrir toutes les dépenses qui y sont rattachées.
Les propriétaires de chien de catégorie 1 ou 2 doivent obligatoirement souscrire leurs bêtes à cette assurance.

La procédure à suivre pour prendre une assurance pour votre chien

Vous devez commencer par choisir l’assureur qui convient le plus, à vous et à votre ami à quatre pattes. Pour cela, internet vous facilite la tâche. En quelques clics, vous pouvez découvrir et comparer les nombreux assureurs du pays.
Une fois votre choix fait, vous devez accéder à leur site web et souscrire en remplissant un formulaire. En cas de soucis, un conseiller est disponible par téléphone pour vous aider.
Après la souscription, les assureurs soumettent des délais de carence de 2 jours pour un accident, 45 jours pour les maladies et jusqu’à 6 mois pour toutes interventions chirurgicales.

Pourquoi choisir l’achat en ligne ?

En moyenne, un Français dépense entre 50 et 80 euros par mois pour son animal de compagnie. L’alimentation constitue le plus gros pôle de dépenses et selon l’état de santé, l’âge et les besoins de l’animal, le prix des croquettes peut varier. De plus, avec l’inflation, le prix de la nourriture pour les animaux (chien et chat) a augmenté de 18% entre 2022 et 2023.

L’achat en ligne présente de nombreux avantages, dont la livraison à domicile. En général, tous les sites de vente en ligne proposent un service de livraison. D’ailleurs, votre livraison peut être offerte si votre achat dépasse un certain seuil.

L’achat de croquettes sur internet est également plus économique, car vous n’avez plus besoin de vous déplacer pour acheter à manger pour votre chien. Certains sites offrent plus de privilèges aux clients fidèles en proposant des réductions.

Procurez-vous les croquettes pour votre chien sur Terranimo

Terranimo est un site de vente des croquettes pour chien et chat. Il propose de nombreuses marques de croquettes pour animal dont certaines sont très connues. Dans la catégorie de croquettes chiens Terranimo, vous pouvez trouver des croquettes pour les chiots juniors, pour les chiots moyens et grandes races et pour les chiens stérilisés ou en surpoids.

Sur ce site, vous pouvez trouver d’autres produits pour chien comme des terrines, des pâtées, des alimentations Bio et des compléments alimentaires. Il propose aussi des friandises pour chien, des produits d’hygiène ou de soins et des antiparasitaires.

Si votre chien souffre de diarrhée aiguë

Tout comme l’être humain, le chien, quand il souffre de diarrhée aiguë, doit éviter certains aliments. Il ne doit pas consommer de produits laitiers ni de repas épicés. Vous ne devez pas non plus lui donner des friandises, trop de protéines ou des os à mâcher. Puisqu’il a des troubles intestinaux, offrez-lui du hill’s gastrointestinal biome. C’est une croquette spécialement formulée pour lui.

N’oubliez pas également de le forcer à boire une solution de réhydratation orale et de l’eau. Aidez-le à en prendre en les lui administrant avec une seringue ou une cuillère.

Si vous voulez vous-même préparer ses repas, voici quelques aliments diététiques que vous devez privilégier :
– Du riz cuit,
– Du poisson blanc cuit,
– Du poulet cuit à incorporer dans le riz.

Si son état général empire, empressez-vous de l’amener chez le vétérinaire.

Si votre chat a été stérilisé

Maintenant que vous avez stérilisé votre chat, il est plus calme, plus affectueux, moins bagarreur et moins fugueur. Mais la mauvaise nouvelle, c’est qu’il est susceptible de contracter certaines maladies. Il peut être sujet à de l’embonpoint et avoir des calculs rénaux. Pour limiter les dégâts, vous devez revoir son alimentation.

Pourquoi ne pas vous procurer ce virbac chat stérilisé 12 kg ? Cette croquette convient à son état. Sa composition est parfaitement équilibrée. Le taux des éléments qui s’y trouvent, matières grasses, protéines, fibres, minéraux et vitamines, maintient ses défenses immunitaires élevées et préserve son système urinaire. En plus, avec ce genre d’alimentation, il est facile de gérer sa ration.

Si votre chat est assez gourmand, vous pouvez aussi lui proposer des légumes en plus des croquettes. Cela lui permet de manger à sa faim sans grossir.

Les maladies fréquentes chez les oiseaux

En fait, lorsque les défenses immunitaires de votre oiseau sont faibles, autrement dit s’il présente un grand stress ou s’il est déjà malade, il peut facilement attraper la colibacillose. Il peut en souffrir également en cas de forte administration de certains antibiotiques ou s’il est placé dans un environnement insalubre. Comment se manifeste la colibacillose ? Par une forte diarrhée, mais il est possible qu’elle entraîne des problèmes respiratoires et même une septicémie qui est souvent mortelle. Les embryons et les petits oisillons n’en survivent pas généralement. Quant au diagnostic, il n’est pas très facile étant donné que la bactérie existe naturellement en petite quantité dans le tube digestif de votre oiseau. Le traitement se fait par antibiotique et par un apport vitaminique, et dans les cas grave, une réhydratation et une hospitalisation peuvent être nécessaires. Pour ne pas en arriver là, une bonne hygiène des lieux, le déparasitage de sa cage et une alimentation bien contrôlée sont indispensables.

Que savoir sur les parasitoses ?

Les parasitoses les plus fréquentes sont les coccidioses, les trichomonoses, les téniasis, les capillarioses et les ascaridioses. Ces parasites peuvent entraîner des diarrhées, des pertes en nutriments tels que les sels minéraux et les vitamines, ce qui peut affaiblir votre oiseau. S’ils sont en grand nombre, ils peuvent même provoquer des occlusions intestinales. Les parasites des voies respiratoires causent des toux, des sifflements et des difficultés respiratoires. D’autres signes tels qu’un plumage désordonné, des tremblements et un amaigrissement peuvent apparaître. Des mesures préventives permettent de protéger votre oiseau de tels maux. Une parfaite hygiène des locaux et de l’environnement et ce, en permanence, est vivement recommandée. De plus, juste après que vous ayez fait l’acquisition de votre oiseau, emmenez-le de suite chez le vétérinaire pour qu’il effectue des recherches d’éventuelles parasites et le cas échéant, le traiter sans attendre.

D’autres vers et parasites

Si vous avez un pinson indigène, sachez que c’est fréquent chez ces espèces la présence de vers gastro-intestinaux appelés verminose ou Ascaridia. Les vers respiratoires ou Syngamus trachea se retrouvent souvent aussi chez les pinsons indigènes. Comment se fait la transmission ? Le plus souvent, cela se passe entre les canaris qui vivent ensemble. Quand vous voyez des vers ou si votre oiseau fait de la diarrhée ou qu’il ne digère pas les graines, c’est qu’il en a. Le traitement pour un canari, c’est du comprimé d’AVICAS et pour un perroquet, c’est 1 comprimé d’AVICAS pour 0,5 kg de poids d’oiseaux, toujours à mélanger avec sa nourriture. Il y a aussi l’ectoparasite, provoquée par les mites suceuses de sang. L’ECTOSPRAY une ou deux fois par mois en traitement curatif mais en prévention, nettoyer correctement l’environnement et tous vos oiseaux avec ECTOSPRAY.

Les répercussions financières

Ces dépenses sont essentielles pour sa santé et son bien-être. Si vous adoptez un chien d’un refuge ou d’une organisation, il y aura souvent des frais d’adoption. Ces frais aident l’organisme à couvrir les coûts des soins vétérinaires qu’il lui a déjà fournis. Vous avez aussi un équipement de base à acheter : un collier, une laisse, une cage ou un lit (coussin) pour chien, des gamelles pour la nourriture et l’eau, et des jouets. L’investissement dans la nourriture et les friandises est primordial. La nourriture de qualité est essentielle pour la santé de votre chien. Les friandises sont également importantes lors de ses séances d’entraînement et lorsque vous l’éduquez.

D’autre part, les vaccinations, la stérilisation ou la castration, et les visites régulières chez le vétérinaire sont cruciales. Il faut aussi penser à la prévention des parasites et aux éventuels traitements médicaux. Pour ne pas exploser votre budget, il est judicieux que vous souscriviez une mutuelle santé pour chien. Bien qu’elle soit optionnelle (facultative), une assurance va couvrir les coûts des soins vétérinaires en cas d’accident ou de maladie. La régularité du toilettage dépend de la race du chien. Dans tous les cas, il est indispensable même une fois par mois. La séance comprend, entre autres, le bain, la coupe des poils, le nettoyage des oreilles et la coupe des ongles.

Si vous voyagez ou avez besoin de vous absenter, prévoyez le paiement d’un pet-sitter. Dans le cas où vous adoptez un chiot ou un chien dont le comportement est à corriger, vous aurez besoin de lui faire faire des séances de dressage. Vous paierez un professionnel pour cela. Enfin, ayez toujours un peu d’argent disponible pour des dépenses imprévues.

Une nouvelle vie

Les chiens ont besoin de régularité. Revoyez votre emploi du temps pour y inclure des promenades régulières, des séances de jeu, des repas à heures fixes, et des sorties pour les besoins naturels. N’oubliez pas que les chiens nécessitent de l’exercice quotidien. De temps en temps, faites des activités sportives avec votre animal. Partez en randonnée ou faites du jogging en sa compagnie. De plus, consacrez du temps à la socialisation et à l’éducation de votre chien, surtout s’il est jeune. Entraînez-le à obéir à des ordres de base, à se comporter correctement en société, et à interagir de manière appropriée avec les autres chiens et les personnes. Tout cela demande du temps. Réaménagez votre domicile pour qu’il soit adapté à l’accueil d’un chien. Sécurisez les zones dangereuses. Créez un espace dans lequel votre chien sera le maître (par exemple : un panier). Planifiez un nettoyage régulier de votre logement afin de le débarrasser des poils et des saletés.

Les voyages imprévus (improvisés) ou de longue durée deviennent compliqués. Vous devrez soit emmener votre chien avec vous, soit l’envoyer dans une pension. Par ailleurs, vous devrez être préparé à gérer les situations d’urgence impliquant votre chien (accidents, agressions inattendues, maladies soudaines, etc.). En tant que propriétaire de chien, vous aurez des responsabilités. Par exemple, vous devez ramasser les excréments de votre chien qu’il a déposés sur la voie publique. Vous devez vous assurer qu’il ne dérange pas les voisins.

Posez-vous les bonnes questions

Avant de porter définitivement votre choix sur un animal, il faut d’abord vous poser les bonnes questions. Est-ce que vous êtes prêt à assumer toutes les nouvelles responsabilités que cela va impliquer ? Est-ce que cet animal va pouvoir s’adapter à votre rythme de vie et aux membres de votre famille (aucune contrainte d’allergie, etc.) ? Combien de temps va-t-il pouvoir partager votre vie ? Auriez-vous assez de temps à lui consacrer ? De quoi va-t-il avoir besoin (niche, cage, nid…)? Avez-vous le moyen de les assurer ? Comment allez-vous vous organiser dorénavant ? En avez-vous réellement besoin et envie ? Bref, la liste est longue, mais le plus important est que cet animal va dépendre de vous, et vous allez devoir en prendre soin et faire son bonheur, sinon il sera inutile de l’adopter si c’est pour le délaisser.

Un animal adapté à son logement

Il est primordial de choisir un animal en fonction de son logement. Le choix est vaste entre prendre un chat, un chien, un rongeur, un oiseau ou même un reptile. Mais il ne suffit pas d’en choisir un que votre cœur aime, il faut le choisir aussi en fonction de votre logement et de l’espace dont il aura besoin pour s’épanouir à vos côtés. Pour un appartement, la meilleure option reste les animaux qui n’exigent pas beaucoup de place. Que ce soit un mammifère, un rongeur, un oiseau, ou même un reptile, tant qu’ils ne nécessitent pas beaucoup d’espace, ils s’adapteront tout à fait à votre logement. Par contre, si vous avez une maison, idéalement avec un jardin, cela vous offre plus de perspective et aucune contrainte dans votre choix. Prenez juste garde, car posséder certains animaux de compagnies comme les animaux exotiques ou de rente, peut exiger la détention d’un permis.

Choisissez en fonction de votre budget et de votre disponibilité

Qu’il soit grand ou petit, un animal domestique demande qu’on lui prodigue certains soins. Vous aurez à penser à la vaccination, à la vermifugation, à l’antiparasitage, à l’entretien du pelage, à la stérilisation, à la castration, au bain, à la promenade, etc. Donc, avant de vous décider, consultez d’abord un spécialiste qui va vous donner une idée de toutes les dépenses à prévoir pour tel ou tel animal domestique. En plus de cet aspect financier, vous devez aussi en choisir en fonction du temps que vous aurez à lui consacrer. Que votre choix se porte sur un compagnon à poil ou à plume, pensez aussi à son bien-être et sa santé, et pas juste au votre. Une fois décidé, le reste est juste une question de coup de cœur. Allez vite à l’animalerie la plus proche, trouvez votre compagnon idéal et vivez heureux !

La loi et les obligations d’assurance pour animaux

Vous n’êtes pas obligé de souscrire à une assurance santé pour votre chien. Cela dit, puisque vous devez veiller sur lui et assurer sa santé, celle-ci est nécessaire. Selon la loi, plus exactement selon l’article R-215 4 du Code Rural, vous serez puni d’une peine d’amendes, des contraventions de 4ème classe si vous laissez sans soins votre animal domestique ou votre animal sauvage apprivoisé qui s’est blessé ou qui est malade.

Même si vous n’avez pas l’obligation d’assurer votre chien, vous n’en êtes pas moins responsable aux yeux de la loi. Puisque vous vous occupez de ce petit compagnon, vous êtes légalement responsable des dommages corporels et matériels qu’il peut causer à un tiers. C’est à vous de réparer ces dommages. Cette responsabilité, connue comme la Responsabilité Civile animale, n’est pas à confondre avec l’assurance santé de votre chien.

L’assurance santé pour votre chien et son utilité

Vous avez décidé d’agrandir votre famille. Vous voulez alors adopter un chien. Vous pouvez vous rendre dans une animalerie en ligne pour trouver ce petit compagnon.

Ensuite, dès que possible, souscrivez à un contrat d’assurance santé pour animal de compagnie. Grâce à cela, les frais médicaux de votre chien seront remboursés en partie ou en totalité. Parmi ceux-ci, il y a la consultation de base, les traitements des maladies, les interventions chirurgicales, les analyses, les imageries médicales, les médecines douces, les frais d’hospitalisation, et même les anesthésies et la stérilisation.

Mais vous ne devez pas choisir n’importe quelle assurance santé pour animal. Pour bien sélectionner une mutuelle pour son chien, il faut utiliser un comparatif. Il faut également considérer les garanties et les contrats qu’elle propose. Est-ce que l’assurance prend aussi en charge les soins préventifs, comme les vaccins ? Offre-t-elle des services complémentaires ? Quel est le montant des cotisations annuelles que vous devez payer ?

Les raisons qui peuvent vous pousser à souscrire une assurance santé pour votre chien

Si vous voulez que votre chien grandisse et s’épanouisse le plus longtemps possible au sein de votre foyer, vous devez souscrire à une assurance santé pour animal de compagnie. Celle-ci lui permet d’avoir accès à divers soins.

D’autre part, il y a aussi le coût des dépenses liées à la santé de votre animal qui est souvent énorme. Comme on l’a vu ci-dessus, il y a tellement de soins et de traitements dont il peut avoir besoin. L’assurance permet alors de financer ces frais. Pour vous donner une idée de ce montant, vous pouvez faire quelques recherches. En général, vous verrez que vous aurez à débourser environ 100 à 300 euros par an.

Puis, l’assurance vous permet également de maîtriser votre budget. N’attendez pas que votre chien souffre avant de souscrire une assurance santé pour lui. Selon sa race, son âge et même ses antécédents médicaux, voyez quelles sont les garanties nécessaires.

Alimenter son chat

L’alimentation d’un chat varie selon qu’il s’agit d’une chatte gestante ou allaitante, d’un chat adulte ou d’un chaton. Vous devez être très strict sur les portions. Si vous lui donnez des croquettes à disposition, assurez-vous de ne pas en faire trop à chaque fois. Par exemple, vous pouvez choisir un distributeur de croquettes, mise en vente sur le magasin en ligne pour contrôler sa consommation. D’autres produits comme les gamelles et sets de table pour votre boule de poils sont aussi mis en vente pour rendre ses mets les plus agréables possible.

Quand les chats doivent-ils manger ?

Il n’y a pas de moment spécial pour nourrir votre chat. Les chats sont naturellement friands de grignotage : vous pouvez lui donner à manger en libre-service, et il le mangera jour et nuit, mais à condition de bien contrôler la quantité (pour éviter l’obésité). Par contre, laissez-lui au minimum 4 repas par jour pendant les 4 premiers mois de sa vie, trois repas par jour au maximum pendant six mois, puis deux repas par jour. Une chatte gestante a besoin au minimum de trois repas par jour et de quatre repas pendant la lactation.

Quelles rations pour lui ?

Les quantités à donner à votre chat dépendent de son activité physique, de son âge, des dépenses spécifiques (croissance, gestation, lactation…). Un chat adulte mange en moyenne de 50 à 75 grammes de croquettes au quotidien et 200 à 300 grammes de pâtée. Après, tout reposera du rythme de vie de votre animal de compagnie : un chat d’extérieur à plus de besoins énergétiques qu’un chat d’intérieur. Pour connaître si les rations que vous lui laissez sont exactes, à l’âge de douze mois pesez-le, âge auquel il aura obtenu son poids normal. Puis, pesez-le fréquemment : il ne doit ni maigrir ni grossir.

Vérifiez le nombre de chiots de la portée

Quand vous allez acheter un chiot, vous devez connaître le prix des chiens par race. Un chiot Golden Retriever coûte souvent moins cher qu’un chiot chihuahua. Pourquoi cette différence de prix entre les races de chiots ? Plusieurs facteurs peuvent impacter le prix, dont le nombre de chiots par portée.
En général, les chiens de taille moyenne ou de grande taille ont souvent beaucoup de chiots par portée comparée aux petits chiens. Il y a des chiens qui peuvent avoir 8 chiots à chaque mise bas comme c’est le cas du Golden Retriever. Il y en a par contre qui n’ont que 1 à 6 chiots par portée. C’est le cas du chihuahua.
Avant d’acheter un chiot donc, prenez connaissance du nombre de chiots de la race du chien que vous voulez acheter. Plus il y a de chiots, plus les frais d’élevage seront faciles à amortir, ce qui permet de réduire le prix de vente.

Étudiez les coûts d’entretien et d’élevage de la race concerné

Si on se base sur la logique ci-dessus, les chiots issus d’un grand chien sont plus abordables, mais ce n’est pas toujours le cas. Pour éviter de vous faire arnaquer sur le prix d’un chiot, étudiez les coûts d’entretien de la race qui vous intéresse.
Prenons par exemple le chiot rottweiler. Il mangera plus qu’un chiot chihuahua et vous fera donc dépenser plus en nourriture. Il aura aussi besoin d’un grand espace de vie. Il peut coûter plus cher qu’un chiot chihuahua. Un petit chiot ne sera pas pour autant abordable, car il n’est pas forcément facile à élever et à entretenir.
Un petit spitz par exemple coûte beaucoup en entretien à cause de ses poils. Il coûtera plus cher qu’un rottweiler dans certains élevages. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’un chiot qui a coûté cher en termes d’élevage et d’entretien coûtera aussi cher lors de la vente d’où l’importance de s’informer avant d’acheter votre chiot.

Prenez en compte l’âge, le sexe et les performances que le chiot peut développer

L’âge du chiot impacte grandement sur son prix. Pour éviter de vous faire arnaquer lors de l’achat, étudiez ce point. Un chiot rottweiler de 4 mois coûtera par exemple moins cher comparé à un chiot de la même race, mais qui a 8 semaines.
Cette différence de prix s’explique par l’importance de l’âge dans la phase d’imprégnation et de socialisation. Cette phase doit se dérouler avant que le chiot ait 12 semaines. Le sexe impacte aussi le prix du chiot. Les femelles sont plus chères que les chiots mâles, car elles peuvent se reproduire.
Prenez également en compte les compétences et/ou les performances que le chiot peut développer. Est-ce que le chiot qui vous intéresse peut devenir un chien de garde, un chien de course, un chien d’accompagnement pour aveugle… ? Cela peut impacter le prix d’achat. Si le chiot qui vous a séduit ne peut pas développer de compétences spécifiques, vous pouvez négocier lors de l’achat.

Analysez l’offre et de la demande

La vente d’un chiot n’échappe pas au principe de l’offre et de la demande. Si la demande est forte comparée à l’offre, le prix du chiot augmentera considérablement. La popularité de la race fait partie des facteurs qui peuvent impacter le marché.
La rareté d’une race peut aussi influencer le prix du chiot. Il y a par exemple des races que vous ne trouverez que dans un seul élevage en France. Si vous voulez obtenir un chiot de cette race, il faut payer le prix fort.
D’autres critères impactent aussi le prix comme vous pourrez le constater en consultant le Web. Dans tous les cas, pour éviter de vous faire arnaquer lors de l’achat, pour acheter au juste prix ou encore pour réussir une négociation, informez-vous au maximum sur le chiot que vous voulez acheter.

Comment se déroule l’hibernation des ours ?

L’hibernation, ou plus précisément l’hivernation des ours est un processus physiologique leur permettant de faire face au manque de nourriture de la période hivernale. Si la fourrure est en mesure de protéger l’animal des températures glaciales, les denrées alimentaires s’amenuisent considérablement.

À la différence de l’hibernation, l’hivernation compte des périodes d’éveil, ce qui fait que l’ours reste alerte pour affronter d’éventuels dangers. Il peut même effectuer quelques déplacements, notamment pour se réchauffer au soleil lorsqu’il fait suffisamment beau. De son côté, la femelle peut mettre bas et ainsi s’occuper de ses petits, en les nourrissant et en les lavant.

Selon le blog sur les animaux dimanche-sans-chasse.fr, l’hivernation a pour objectif de réduire la consommation énergétique de l’animal en limitant les différents processus physiologiques. Durant cette période, le rythme respiratoire diminue de moitié, tandis que le rythme cardiaque passe de 50 à 10, voire 8 pulsations par minute.

Par ailleurs, l’ours ne boit et ne mange pas, tout comme il n’urine pas. En effet, les urines sont directement recyclées par l’organisme pour maintenir son niveau d’hydratation. Pour subvenir à ses besoins, il accumule préalablement des réserves de graisse pendant l’automne en consommant des fruits et des graines. Si l’animal conserve sa masse musculaire, il perd près d’un tiers de son poids durant la période d’hivernation.

Combien de temps dure l’hivernation des ours ?

L’hivernation des ours varie en fonction de l’animal (âge, sexe, réserve de graisse, etc.) et des conditions climatiques. Les mâles adultes sont les premiers à sortir, tandis que les femelles avec des nouveau-nés prennent plus de temps. L’hivernation débute souvent avec l’hiver, et s’achève lorsqu’il fait suffisamment doux pour trouver de la nourriture. L’ours peut ainsi hiverner entre 3 et 6 mois par an, entre octobre et décembre, pour sortir de son terrier entre février et mars. Autrement dit, l’hivernation tourne autour de 152 à 213 jours chez l’ours.

À noter qu’une période de pré-hivernation précède l’hivernation proprement dite. Elle s’étend sur 3 et 17 jours, pendant lesquels l’ours se prépare en cherchant ou construisant sa tanière. Selon la zone géographique, il peut se loger dans les cavités rocheuses naturelles qu’il recouvre de feuilles, d’herbes et d’autres végétaux pour garantir son confort. Dans certains cas, l’ours peut également creuser lui-même sa tanière.

Comme l’hivernation dépend de l’animal en question, quelques ours peuvent s’en passer et ne rester que très peu de temps dans leur terrier. C’est notamment le cas des ours qui ont pris l’habitude de chasser, et qui consomment les animaux qu’ils trouvent durant l’hiver. D’autres, qui vivent à proximité des humains, peuvent aussi se nourrir de restes de nourritures et de déchets.

Sinon, il est courant que certains consomment des racines lorsqu’il fait suffisamment doux pour creuser dans le sol. Par ailleurs, le cas des ours polaires est singulier, sachant que les loutres et phoques abondent en hiver. Ils profitent donc de cette saison pour ingurgiter le maximum de nourriture.